Les cœurs se bousculent
Dans les tréfonds gesticulent
Et débordent l'inconscient de nos êtres
Les corps se bousculent
Dans les espaces minuscules
De l'insouciance de nos êtres
L'Amour, la Pensée
Cachée, tuée, étouffée
Ne saurait avoir le droit d'exister
Boule de lumière iridescente
Perfection
Beauté absolue
Puissance solaire resplendissante
Une pensée non partagée disparaît
Tel un secret jamais révélé
Que nenni ! Que de tromperies !
Un amour si puissant
Ne s'ignore pas longtemps
Un rayon de lumière transperce mon cœur
Cet amour sincère existe en moi
Que je le crois, ou pas
Le renier, c'est me blesser
L'étouffer, c'est me vider
L'ignorer, c'est me mépriser
L'assumer, c'est avoir le droit d'exister
La vie danse et moi. J'existe. Je vis. J'aime. De tout mon cœur. J'aime sans demi-mesure, sans retenue, sans compter, avec force, rage et ténacité. J'aime plus que ce que la vie est capable de donner.
Crédit photo : Ayako Folly